Σάββατο 18 Μαρτίου 2017

Ψηφίσματα αλληλεγγύης για την δίκη σε αγγλικά,γαλλικά και ισπανικά

Yes I know too that hazing takes place in the army ! No conviction for the movement in the army (inside and out)
One year before our comrade and member of the Conscript Solidarity Committee, Nikos Argiriou was harshly convicted to a two year sentence with suspension after being sued by the then commander (currently retired) of the 586 TP/K Boot Camp of Grevena D.Voutsi. May we remind to all that in Greece mandatory military conscription is mandatory for every male citizen over the age of 18.
This conviction was imposed for report seven years before. This report posted at the Conscript Solidarity Committee website was in fact a letter from a conscript of the boot camp denouncing hazing taking place in the camp. The sentence imposed to our member not only opposes the antiwar sentiment of the workers and youth but violates many regulations and rights of free trial.
The procedure followed in the trial reminds us of dark moments of the legal system and resembled nothing to a court uphold some law. Illegal removal of confidentiality, telephone surveillance without a warrant, refusal to address all the witnesses and a trial jury which responded in the name of the prosecutor. The vibe of the trial was making it clear that Nikos Argiriou would be convicted. 

The court convicted him for defamation, for an incident that is common truth for the greek society. He was convicted because the Conscript Solidarity Committee condemned the hazing practices in the army, a practice which is still active in the ranks of Greece's armed forces. It seems like only the court of the trial didn't know what takes place in the boot camps and barracks of the nation, and in what conditions conscripts serve the mandatory military obligations. All that when the Greek society in whole speaks openly for the so called "abnormality" and "irrationality" of military service.

Practicing hazing in the armed forces hasn't been eradicated as the prosecutor and retired officer says, and unfortunately even the number of conscripts committing suicide during their service don't seem to decrease. The living conditions of the conscripts remain vile and the incidents of extreme nationalism and drug addiction remind to all of us how important it is to intervene and organize a movement inside and outside the armed forces. A conscript movement seeing the conscript as what they truly are which is citizens in uniform, this is the harsh reality in a world of mandatory military conscription.

The Free Conscript Network "Spartacus" and Conscript Solidarity Committee have contributed for a movement for peace, fighting against militarism and war at any given occasion. Their initiatives in the mass movement, in the youth and the enlisted conscripts is known to everyone. Conscripts revealing, through letters that the Conscript Solidarity Committee publishes , the living conditions in the barracks, condemning openly the murderous wars of NATO and EU. This "team" made from the Free Conscript Network "Spartacus" and the Conscript Solidarity Committee have promoted the need to defend the conscript rights, abolish military expenditures and disbandment of war organizations such as NATO and the EU Army. 

In such days that war is surrounding us, a critique but even more an active condemnation of such phenomena will not be tolerated by the state. They are trying to supress any movement that involves the armed forced, especially now that it could cause such damage to their treacherous plans. In times of nationalistic tensions rising, military expenditures increasing and attempts to expand the mandatory effect of conscription that ever male citizen will serve his military sentence the day he turns 18. ( Today you can postpone your military service for reasons such as university education but you must serve at some time or else you are prosecuted by law). All these are threats against the people and youth of the country.

But Nikos Argiriou is not alone! With this resolution we stand by his side at the appellate court of March 21st 2017, we stand by his side and we Demand :

- Acquittal of Nikos Argiriou

- Cancellation of his sentence

- Removal of all charges against him 

We fight for our rights of freedom in electronic press, and free circulation of ideas and news. No movement will me criminalized !





Moi aussi je sais qu'il y a du bizutage dans l'armée!
Pas de condamnation du mouvement dans l'armée (en son sein et en dehors) 
Aucune condamnation
Il y a un an, notre camarade Nikos Argiriou, membre du Comité de Solidarité avec les Conscrits, a été sévèrement condamné à une peine de deux ans avec sursis suite à la plainte de D. Voutsi, alors commandant (désormais à la retraite) du camp d'entraînement 586 TP/K de Grevena. Rappelons qu'en Grèce la conscription est obligatoire pour tous les citoyens masculins de plus de 18 ans.
Cette condamnation a été imposée au motif d'un article écrit 7 ans auparavant. Cet article, publié sur le site du Comité de Solidarité avec les Conscrits était en fait la lettre d'un conscrit de ce camp d'entraînement qui dénonçait le bizutage qui avait lieu dans le camp. La condamnation prononcée à l'encontre de notre camarade s'oppose au sentiment anti-guerre de la classe ouvrière et de la jeunesse, ainsi qu'elle bafoue nombre des règles et des droits d'un juste procès.
La procédure suivie au tribunal nous rappelle les heures sombres du système judiciaire et tout cela ne ressemble en rien à un tribunal qui appliquerait la loi. Viol illégal de la confidentialité, surveillance téléphonique sans mandat, refus d'entendre tous les témoins et un jury acquis au procureur, l'atmosphère du procès faisait clairement comprendre que Nikos Argiriou serait condamné.
Le tribunal l'a condamné pour diffamation, pour un incident dont la véracité est connue dans la société grecque. Il a été condamné car le Comité de Solidarité avec les Conscrits a condamné la pratique du bizutage dans l'armée, une pratique qui existe encore dans les rangs des forces armées grecques. On aurait dit que seul le tribunal ignorait ce qui se passe dans les camps d'entraînement et dans les baraquements partout en Grèce, et les conditions dans lesquelles les conscrits remplissent leurs obligations militaires. Tout cela alors que l'ensemble de la société grecque parle ouvertement de "l'anormalité" et de "l'irrationalité" du service militaire.
Le bizutage et les suicides dans l'armée n'ont certainement pas disparu. La pratique du bizutage dans les forces armées n'a pas été éradiquée comme le procureur et le commandant à la retraite le prétendent, et malheureusement, même le nombre de suicides de conscrits pendant leur service ne semble pas baisser. Les conditions de vie des conscrits restent pitoyables et les incidents de nationalisme extrême et d'addictions aux drogues nous rappellent toutes et tous l'importance de l'intervention et de l'organisation d'un mouvement à l'intérieur et à l'extérieur des forces armées. Un mouvement des conscrits qui voie les conscrits pour ce qu'ils sont vraiment, c'est-à-dire des citoyens en uniforme, c'est la dure réalité dans le cadre d'une conscription militaire obligatoire.



Le Réseau "Spartacus" des Conscrits Libres et le Comité de Solidarité avec les Conscrits ont contribué au mouvement pour la paix, luttant contre le militarisme et la guerre en toutes occasions. Leurs initiatives dans le mouvement de masse, dans la jeunesse et chez les conscrits sont largement connues. Les conscrits révèlent, par des lettres que le Comité de Solidarité avec les Conscrits publie, les conditions de vie dans les baraquements, condamnent ouvertement les guerres meurtrières de l'OTAN et de l'UE. Cette "équipe" formée à partir du Réseau "Spartacus" des Conscrits Libres et du Comité de Solidarité avec les Conscrits a promu la nécessité de défendre les droits des conscrits, d'abolir les dépenses militaires et le démantèlement des organisations guerrières telles que l'OTAN et l'armée de l'UE.
En ces temps où la guerre nous cerne, la critique, mais plus encore, la condamnation active d'un tel phénomène ne seront pas tolérées par l'Etat. Il tente de réprimer tout mouvement qui implique les forces armées, particulièrement maintenant au moment où cela pourrait faire capoter ses projets scélérats. La montée des tensions nationalistes, l'augmentation des dépenses militaires et les tentatives de d'étendre les obligations de la conscription en obligeant tout citoyen masculin à rentrer en service dès le jour de ses 18 ans (aujourd'hui il est possible de reporter son service militaire pour des motifs tels que la poursuite d'études universitaires, mais le service doit être effectué à un moment donné sous peine de poursuites), sont des menaces pour le peuple et la jeunesse du pays.
Mais Nikos Argiriou n'est pas seul! Par cette résolution nous lui exprimons notre solidarité face à la cour d'appel où il est convoqué le 21 mars 2017, nous nous tenons à ses côtés et nous exigeons : 

- l'acquittement de Nikos Argiriou

- l'annulation de sa condamnation 

- l'arrêt de toutes les poursuites à son encontre 
Nous nous battons pour nos droits de liberté de la presse électronique et de libre circulation des idées et des informations. Non à la criminalisation des mouvements!
Nous défendons le droit de liberté de la presse électronique et de distribution libre d’idées et d'informations et de nouvelles


SI, YO TAMBIEN SE QUE OCURREN NOVATADAS EN EL EJERCITO!
Ninguna condena al movimiento dentro y fuera del ejército
Hace un año, se condenó a dos años de prisión condicional Nikos Argiriu Miembro de la Comisión de Solidaridad militante después de la demanda del entonces comandante de la 586 TI / Centro de novato Grevena hoy retirado, D. Voutsis. La frase anterior en contraposición a los sentimientos contra la guerra de los trabajadores y jóvenes y en violación de decenas disposiciones sobre los derechos y las garantías judiciales,se impuso al miembro del Comité de militantes de Solidaridad, porque en la página Web de la Comisión tenía, hace siete años,publicada la carta de soldado que denunció novatadas en el campamento.
El procedimiento seguido en el juicio estuvo contrario al defender la ley y recordaba épocas antiguas. Con ilegal confidencialidad de elevación, vigilancia de teléfono de posesión temporal, con negación a examinar a todos los testigos incluso un tribunal establecido para responder en lugar de la parte demandante el clima de la prueba estaba claro que se prescribía para condenar a Nikos Argiriu.
Fué condenado por algo bien conocido por toda la sociedad. Porque la Comisión de Solidaridad militante denunció, tal y como debería las novatadas en el ejército, que continúan en la actualidad. Parece que estos eran los únicos representantes del poder judicial que no sabían lo que sucede en los campamentos y toda una sociedad clama por las condiciones allí.Las novatadas en el campamento seguro que no han desaparecido tampoco los suicidios de soldados.Las condiciones de vida siguen siendo deplorables y todavía incidentes nacionalistas y la plaga de las drogas siguen existiendo recordándonos que es necesaria la intervención de un movimiento dentro y fuera del ejército para defender d el derecho del soldado como ciudadano de uniforme.
La Red Libre soldado "Espartaco" y la Comisión de Solidaridad militante contribuyeron a la creación de un clima pacífico con la resistencia al militarismo y la guerra.Sus iniciativas son conocidas en el movimiento de masa, los jóvenes y los reclutas. Decenas de soldados publicaron, a través Comisión de Solidaridad militante cartas en oposición a las guerras asesinas del NATO y la Unión Europea. Sostenidamente proyectaron la necesidad de defender los derechos de los reclutas la abolición de los gastos militares y el desmantelamiento de las organizaciones militares como el NATO y el ejército europeo.
En un momento en que las nubes de guerra están engrosadas de nuevo, en nuestra región más amplia, la crítica y mucho más la queja de tales fenómenos no será tolerada. Tratan de suprimir el movimiento dentro y fuera del ejército,sobre todo ahora que es más necesario que nunca, mientras se intensifica la razón nacionalista para hacer el servicio militar obligatorio a los 18 y provocativos armamentos contra la gente y la juventud.
Pero Nikos Argiriu no está solo. Con nuestra resolución estamos a su lado el martes, 21 de Marzo de 2017, al tribunal de apelación y demandamos:
La absolución de nikos argyriou, cancelamiento de su sentencia liberación de sus acusaciones defendemos el derecho de libertad de la prensa electrónica, del libre tráfico de ideas y noticias. Ninguna condena del movimiento social.


ΕΠΙΤΡΟΠΗ ΑΛΛΗΛΕΓΓΥΗΣ ΣΤΡΑΤΕΥΜΕΝΩΝ 
ΔΙΚΤΥΟ ΕΛΕΥΘΕΡΩΝ ΦΑΝΤΑΡΩΝ ΣΠΑΡΤΑΚΟΣ

Δεν υπάρχουν σχόλια:

Δημοσίευση σχολίου